Libro de 120 pags. de historieta, más cubiertas en tapa blanca, en color.
Traducción de Murderabilia, publicado en origen, en España, por Astiberri Ediciones, en la línea Sillón Orejero, en Noviembre de 2014.
Descripción editorial (en francés), fuente, www.editions-rackham.com
« Les murderabilia, mot-valise forgé à partir des termes latin memorabilia (« souvenirs ») et anglais murder (« meurtre »), désignent des objets liés à des meurtriers, notamment les tueurs en série et les tueurs de masse, marchandisés principalement sur des sites internet dédiés à ce type de commerce. » (Wikipédia)
Le jeune Malmö Rodríguez a vite abandonné ses études, habite avec des parents qu’il déteste, est sans emploi mais ne cherche pas du travail. Il voudrait être écrivain, mais il n’écrit presque jamais. Tout ce qu’il possède ce sont deux chats noirs, héritage d’un oncle qui vient d’être terrassé par un infarctus. À première vue, on les prendrait pour des chats quelconques, mais un étrange personnage est disposé à les acheter en échange d’une coquette somme d’argent. Malmö accepte le marché, saute sur un bus et part livrer les chats au mystérieux acheteur, sans se douter que cette rencontre va changer sa vie pour toujours.
Après l’étonnant Cendres, Álvaro Ortiz peaufine son très personnel style narratif dans un thriller qui mélange gore, humour et coups de théâtre et qui se lit d’une traite jusqu’à l’inattendu dénouement final.
Descripción editorial (en español), fuente, ficha de Murderabilia, en Tebeosfera.
Coleccionismo macabro.
Malmö Rodríguez no estudia, no trabaja y no busca trabajo. Odia vivir con sus padres y dice querer ser escritor, pero tampoco escribe mucho. Tiene un par de gatos negros heredados de su tío, que acaba de morir de un infarto. Parecen dos gatos corrientes, pero el caso es que alguien está dispuesto a pagar mucho dinero por ellos.
Conocer al comprador, un coleccionista de objetos relacionados con asesinatos y atrocidades varias, instalarse en su entorno –una casa junto al bosque, un motel de carretera, un vecindario cerrado– cambiará su vida drásticamente.
Con Murderabilia, Ortiz profundiza en su particular narrativa y estilo gráfico. Personajes gamberros y variopintos, jóvenes sin rumbo y amantes de la caza se codean en esta historia que combina intriga, humor y drama, y donde no hay que fiarse de los tonos pasteles y de los animalitos amables.